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Pour des terres agricoles protégées en meilleure santéplus accessibleset nourricières

À propos

L’Alliance SaluTERRE est une coalition d’organisations membres issues des milieux agricole, environnemental et de l’aménagement, et soutenue par de nombreuses organisations du Québec œuvrant en agriculture, alimentation, aménagement, environnement et un mouvement de société en faveur de la protection des terres agricoles.

Notre objectif est de concrétiser des changements à fort impact pour accroître la protection des terres et des activités agricoles en informant la population ainsi que les décideurs de tous les paliers.

Les membres de l’Alliance

Le Comité aviseur

Patrick Mundler
Université Laval
Fernande Ouellette
Agricultrice
Jean Larose
Consultant, ex D.G. de l’UPA

Les organisations et personnes en soutien

  • Slow Food Montréal
  • Mathieu Maisonneuve, maire de Saint-Lin–Laurentides
  • Louis Robert, agronome retraité
  • Claire Bolduc, agronome et préfète de la MRC de Témiscamingue

Chaque terre compte

Les enjeux

Disparition, hausse des prix, difficulté d'accès pour la relève: les terres agricoles du Québec sont sous pression.

Depuis l’entrée en vigueur de la Loi sur la protection du territoire et des activités agricoles (LPTAA) en 1978, la portion de territoire située en zone agricole est d’environ 5 % (4,7 % à présent). La zone agricole inclut des terres cultivables mais aussi des forêts privées, des routes, les superficies où se trouvent les bâtiments agricoles, etc., ce qui ramène la superficie de terres agricoles cultivables à moins de 2 % du territoire. À titre comparatif, cette proportion est de 58 % en France et 45 % aux États-Unis. Le sol de bonne qualité pour l’agriculture constitue donc, on le constate, une ressource rare au Québec, et qui plus est non-renouvelable : jusqu’à 10 00 ans sont en effet nécessaires pour générer 2 à 3 cm de sol.

Malgré qu’ils soient si précieux et qu’un régime de protection des terres agricoles soit en place au Québec, la pression pour développer les terres agricoles est énorme, surtout en périphérie des villes dans les basses-terres du Saint-Laurent et autour des régions métropolitaines de Québec et Montréal où, paradoxalement, se retrouvent les terres de meilleure qualité.

À l’enjeu de l’étalement urbain - pour des usages résidentiels, commerciaux, industriels et d’infrastructure, récréotouristiques, etc. - s’ajoutent ceux d’accaparement, de spéculation et de financiarisation, qui sont intimement liés et se renforcent bien souvent mutuellement.

Nos terres agricoles sont précieuses :
elles ne composent que 5% de notre territoire (comparativement à 58% en France et 45% aux États-Unis)
Le prix de terres agricoles est 10x plus élevés qu’il y a 25 ans, un obstacle pour la relève agricole qui n’a plus les moyens d’accéder aux terres.

Nos initiatives

    • Campagne provinciale
    • En cours

    Chaque terre compte : dites-le au gouvernement!

    Nous assistons présentement à la perte massive de nos terres agricoles, qui disparaissent au nom du développement industriel ou de l’étalement urbain, en plus de subir la pression liée à la spéculation foncière, à l'accaparement et à la financiarisation.

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